Une étude menée par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Haïti révèle que 53 125 personnes ont fui la capitale Port-au-Prince entre le 8 et 27 mars. Huit personnes sur dix sont parties en raison des violences des gangs.
Dans son communiqué datant du 2 avril l’OIM a souligné que “Les provinces de destination des déplacés n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.”
La rédaction